vendredi 19 octobre 2007

We'll be back !

Hey les gens, j'espère que je vous ai manqué, ça fait über longtemps que je n'ai rien tapé ici (le dernier article date de fin août oO).
En fait, c'est juste que je viens de finir de regarder The Island, un film d'exception à mon avis, que j'avais raté à sa sortie au cinoche et que je rattrape du coup aujourd'hui à la place de faire mon cahier de charges pour mon micro-projet que je devais rendre lundi. Bref. The Island, que j'ai regardé avec grand plaisir (le premier qui dit que c'était uniquement pour Scarlett [Kyaaaaa je sais je sais] aura tout faux). D'abord l'idée générale de faire du clonage thérapeutique je trouve que ça déchire. On choppe ton ADN, on te clone et les organes qu'on va en tirer remplaceront parfaitement les tiens puisqu'ils seront génétiquement identiques. En cas d'accident, c'est gagné, une série de greffes (qui seront parfaitement acceptées) va réparer tout ça illico presto.
Mais y'a toujours le blahblah moralo-éthique sur la condition des êtres qu'on va créer de cette façon, parce que dans le film c'est pas des petits bouts qu'ils fabriquent, mais des hommes entiers qui pourront remplacer tout un tas de membres et d'organes défaillants. Ce qui fait tout foirer dans le système, c'est qu'ils se rendent compte que """"l'âme"""" ou au moins les souvenirs se transmettent par l'ADN (ou par wifi, ils disent pas) donc les 'produits' (par opposition aux clients) développent une personnalité propre avec en partie des souvenirs de l'original.
LA scène marrante du film c'est lorsque le double héro (vous l'aurez compris, le vrai et la réplique) se retrouvent côte à côte, indifférenciables, hurlant à leur légitimité ! Bien sûr, le vrai est une fripouille et la réplique un charmant garçon, donc le client se fait pounaid et tout repart.
Un autre truc qui m'a troué les rétines c'étaient les effets spéciaux, je ne m'attendais pas à ça pour un film aussi vieux (Scarlett était encore belle à l'époque), la séquence de l'autoroute est monstrueuse (j'aime trop et les réalisateurs aussi les scènes de pliage de tôle sur une autoroute, genre Matrix Reloaded, Die Hard 4, partouuuut y'a une poursuite avec des dizaines de voitures de civils défoncées [et par là autant de gentils papas et mamans et dès fois leurs enfants qui partent en vils tonneaux avec quelques pruneaux dans la carosserie] avec les gentils qui sont bulletproof. Toujours des gentils bulletproof !]. Sinon, la fin, avec tout le complexe qui pète ça roxxe aussi. Dans l'ensemble, les relations entre les deux protagonistes (Ewan et Scarlett aka Lincoln et Jordan) sont assez bon enfant, sauf vers la fin (imaginez deux bombes comme ces deux là avec un âge mental de 15 ans et les corps qu'on leur connaît \o/ ).
Un film donc que je conseille à tout le monde, fan d'anticipation, d'action intelligente (et/ou de Scarlett ;))

4 commentaires:

Moudi a dit…

SCARLETT !!!! KYAAAAAAH !!!!!

Anonyme a dit…

Ah... Bon.
Je n'ai pas vu "The island". Par contre j'ai vu "Dune" de D. Lynch hier soir. Et découvert qu'Orson (oui, le Orson de Desperate Housewives) avait été Paul Atréides avant d'être Orson. Le choc.
Rien à voir, je sais.

NeoSquall a dit…

Luciole en mode [il faut absolument que je place cette découverte quelque part !] ON !!!
J'ai lu tout Dune. J'ai adoré chaque ligne, chaque description des Mentats, chaque faculté des Bene Gesserit, chaque évocation des effets Holtzmann, des gholas et des combats sans armes de(s) Duncan Idaho.
Mais je ne connais aucun Orson. Pas une miette orsonesque ne vient troubler ma conscience. Le calme.
Et oui, totalement rien à voir. Mais Dune, c'est goude :)

Anonyme a dit…

Oups... Orson, c'est un des personnages de Desperate Housewives. Rien à voir avec Dune, je ne me souviens plus du nom de l'acteur, c'est tout.